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Pourquoi « s’aimer soi-même » peut-il changer notre vie ?
L’objet de notre conférence de ce soir est l’amour et le respect de soi de soi grâce à une méthode puissante pour apprendre à s’aimer soi-même. Nous verrons combien ceci est important dans la construction et la réalisation d’une vie.
Je précise, non seulement dans la réussite d’une vie mais aussi dans l’épanouissement d’une vie.
Quand je parle de réussite, je l’entend dans son acceptation large.
Je ne parle pas juste de réussite professionnelle, mais de réussir sa vie affective, de réussir sa vie de parent, on pourrait ajouter apporter du bonheur autour de soi d’une certaine manière.
Donc nous verrons que s’aimer soi-même est quelque chose de fondamental.
Pourquoi s’aimer s’aimer soi-même peut-il en effet complètement changer votre vie ?
A lire aussi : Comment apprendre à s’aimer ? 5 raisons clés & méthodes pratiques
Se sentir coupable de s’accorder de bonnes choses
Je constate après 35 années d’expérience dans le domaine de l’accompagnement, combien il est difficile de s’aimer soi-même et d’apprendre à s’aimer parce qu’il y a beaucoup de culpabilité évidement.
On se sent très coupable de s’accorder des choses, même si on le fait, il y a cette espèce de conflit intérieur. Pourtant, se libérer de la culpabilité est souvent un passage nécessaire pour apprendre à s’aimer et à s’accepter.
Cela me rappelle une conférence que le Dalaï-Lama avait donné. C’était au début, quand il est arrivé en Occident. Une personne lui avait posé une question sur la haine de soi.
Et le Dalaï Lama a demandé au traducteur de répéter parce qu’il n’était pas sûr d’avoir bien compris. Et lui-même demanda explication sur ce qu’est la haine de soi. Il ne comprenait pas que l’on puisse se haïr, qu’on pouvait manquer d’amour pour soi-même.
S’aimer soi-même est quelque chose qui lui était totalement étranger.
Comme vous l’avez vu dans la bande annonce, j’ai eu l’immense honneur de fréquenter après mes études de psychologie de très nombreux sages de différentes traditions.
C’était quelque chose d’extraordinaire parce que j’ai découvert à travers eux le respect, le sens de l’amitié, la bonté, l’amour, la compassion… et notamment avec les bouddhistes.
Les bouddhistes ont cette démarche. Dès le plus jeune âge, on apprend à l’enfant à être bon pour lui-même.
Et je me rendais compte combien c’est une carence énorme dans notre culture, s’aimer soi-même est quelque chose qui est complètement absent.
Ici, on nous demande d’être dur avec soi-même. On dit à un petit garçon qu’un garçon ça doit être fort … bref on nous balance plein de bêtises dont il nous faut nous débarrasser ensuite.
Portrait à droite de Shimed Rigzin Rinpoche
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La nécessité d’apprendre à s’aimer soi-même
Alors que, si au contraire, nous apprenions à être respectueux envers nous-même, bienveillant envers soi, cela ferait de nous des êtres bien dans leur peau, heureux de vivre etc …
Force est de constater dans notre culture que l’on bat les records de burn-out, de dépression. Nous sommes de très grands consommateurs de tranquillisants, de somnifères, nous créons des dépendances et nous avons des relations très compliquées avec les autres.. cela est un constat que je fais depuis 35 ans à travers les témoignages que les gens me font. Je vois comment ils ont des relations très dépendantes, très conflictuelles etc.. à tous les niveaux.
Et donc, s’il y avait un peu plus d’amour de soi et d’estime de soi, je pense que ça aiderait beaucoup.
Alors pourquoi est-ce important de s’aimer soi-même ?
Je vais vous dire une chose très simple : est-ce que vous feriez un cadeau à quelqu’un que vous n’aimez pas ?
Vous allez me dire certainement non sauf si vous êtes une sainte ou un saint. À ce moment-là on va vous décerner une médaille (rires) parce que de manière naturelle, vous n’avez pas envie de donner à quelqu’un que vous n’aimez pas.
Donc comment est-ce que vous pouvez vous faire le cadeau d’une vie heureuse sans amour de soi ?
Comment allez-vous vous accorder des relations épanouissantes avec les autres ?
Alors vous vous dites : ça dépend de l’autre. Hé bien non justement, et c’est là que nous allons voir à quel point le rapport que nous avons avec nous-même affecte directement le rapport que nous avons avec les autres.
Vous croyez que c’est un hasard que vous vous retrouvez avec un patron tyrannique ? Que vous vivez dans un milieu de stress et de pression etc … ?
Parce que je peux vous assurer qu’il y a des entreprises où c’est beaucoup plus cool. (rires)
L’amour est-il une donnée scientifique ?
Est-ce que vous avez des conflits avec l’autre ?
Vous savez c’est très intéressant , le rapport que l’on a avec les autres reflètent un peu nos conflits intérieurs.
Vous connaissez sans doute l’astro-physicien Aurélien Barrau, j’ai eu l’occasion d’échanger avec lui et nous avons abordé la notion de l’amour.
Il m’a répondu que ce n’était pas une donnée scientifique (rires).
Alors aujourd’hui si, de vraies recherches ont été faites : on sait comment le cerveau s’active quand une personne émane de l’amour, surtout l’amour inconditionnel et l’amour altruiste.
Et je lui ai fait la réflexion : vous savez, si une personne, enfant a été aimé, de manière authentique, pas de manière possessive, cet enfant devenu adulte ne se posera pas la question de savoir s’il peut être aimé car pour elle c’est évident, c’est naturel parce qu’elle aura reçu tellement d’amour dans son enfance qu’elle trouvera naturel qu’on l’aime.
Mais nous, nous mettons beaucoup de suspicion dans nos relations (rires) : on se demande « est ce qu’il m’aime vraiment pour ce que je suis ? »
Bon, si on est riche, est-ce qu’il m’aime pour mon argent ou est-ce vraiment désintéressé ?
Et comme disait un sage indien que j’ai eu le bonheur de rencontrer : « dans votre relation, vous n’êtes pas deux, vous êtes quatre ».
Il y a vous et votre ego.
Autrement dit, il y a vous et votre histoire.
Chacun a son histoire respective et on projette comme ça l’un sur l’autre toutes ses craintes, toutes ses peurs, on est dans une espèces de projection.
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Amour versus narcissime
C’est extraordinaire de voir combien on a besoin de se valoriser, que ce soit à travers des biens, à travers des possessions, à travers son apparence ou à travers l’autre aussi.
On voit des hommes qui ont besoin d’avoir toujours une jolie femme pour se sentir valorisé.
Mais curieusement, nous avons beaucoup de mal à nous aimer nous-même.
Alors, nous allons voir combien s’aimer soi-même est quelque chose de fondamental et parfois comment l’amour de soi peut être confondu avec le narcissisme.
Le narcissisme c’est quand on contemple son image dans le miroir et qu’on se fait aimer pour son apparence. Vous voyez il y a des personnes qui font toujours très attention à leur apparence et je me dis, finalement ,on ne les aime que pour leur apparence, on ne les aime pas eux.
Je vais même vous raconter une petit histoire qui m’est arrivé et que je trouve drôle.
Un de mes amis, relativement fortuné, vient me voir car il avait acheté une très belle voiture. Il me dit : « viens, on va faire un tour »
(Je peux vous assurer que les voitures, je m’en fiche complètement, du moment que ça a 4 roues et que ça m’emmène là où j’en ai besoin, cela me suffit).
Donc nous allons faire un petit tour et mon ami s’exclame « tu as vu, tout le monde nous regarde ». Je lui répondis que non, ce n’était pas nous que les gens regardaient mais la voiture.
Voulez-vous vous aimer vous-même ?
« Et comment voulez-vous que les autres vous aiment si vous ne vous aimez pas vous-même ? »
Je charrie parfois les personnes en leur disant : « vous rencontrez quelqu’un et c’est comme s’il y avait une sorte de dialogue intérieur – « écoute, moi je ne m’aime pas beaucoup mais si toi tu peux m’aimer, ça m’arrangerait beaucoup » (rires)
Et ça c’est le cadeau que vous faites à l’autre.
Et une amie psychologue me disait souvent : « l’autre, c’est le cadeau que vous vous êtes fait ».
Là aussi nous allons voir combien l’amour est en étroit rapport avec le respect de soi.
Combien parfois les gens se respectent tellement peu qu’ils en ont une vie difficile, misérable ou compliquée, tout cela parce qu’il y a un manque cruel d’estime de soi, d’amour de soi.
Et pourtant tout va ensemble : l’estime de soi, l’amour de soi, le respect de soi.
Vous pouvez deviner combien tout cela est important.
Alors que je faisais mes études de psychologie, il y avait une psy qui enseignait la même chose : «il faut que vous appreniez à vous aimer ».
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Que faire pour s’aimer soi-même ?
On se dit : « ça me fait de belles jambes tout ça, mais je fais quoi pour m’aimer ? Je m’achète des cadeaux, je m’embrasse (rires) ? »
En fait c’est assez simple. Pemma Schödron, qui est une sage tibétaine d’origine occidentale, disait à propos de la méditation et de sa pratique en général, que c’est une façon d’entrer en amitié avec soi-même.
Donc je vais vous parler ici de la démarche que je propose.
J’enseigne cette démarche depuis 35 ans. Aujourd’hui, nous avons même l’honneur de recevoir une validation scientifique de la démarche, qui a été reconnue par un psychiatre qui est membre du Comité Stratégie Santé Mentale France.
Il est venu en stage plusieurs fois et a reconnu la validité de la démarche, il a aussi suivi les cours et il a en salué le côté très pédagogique.
Vous verrez, c’est quelque chose de très agréable à pratiquer, parce qu’il s’agit de se faire du bien, d’être bon pour soi comme je le disais au départ.
Et cette démarche, en fait, ça se présente sur 3 cycles de formation et étapes par étapes, hé bien, vous apprenez à vous prendre enfin en considération, à vous occuper de vous.
En fait, on met en avant une faculté qu’on possède tous qui est l’attention.
Alors aujourd’hui, on utilise des termes sophistiqués comme la méditation pleine conscience etc …
Je vous avoue que moi qui suis versé dans le domaine depuis l’âge de 15 ans, je trouve cela ronflant ce genre de terme, on parle de MBSR, là aussi c’est pareil on est dans les apparences on aime donner des termes qui font bien.
Au départ, ça vient du mot « sati » de la langue pali qui veut dire « attention », la conscience claire des événements mentaux.
Et quand vous prêtez de l’attention à quelqu’un : en fait vous prêtez attention, il y a une notion derrière de bienveillance.
Par exemple, vous avez un ami ou un membre de votre famille qui est malade, qui est alité, vous allez lui prêter de l’attention, vous allez prendre soin de lui, vous allez être attentif à ses besoins.
Ou parfois, vous allez apporter juste votre présence, vous êtes juste là pour la personne pour qu’elle ne se sente pas seule.
L’importance de l’attention
Et c’est ça l’attention, et cette attention, nous, nous avons plutôt tendance à la tourner vers l’extérieur, ce qui fait qu’on se connait très peu finalement.
Nous sommes de véritables étrangers pour nous-même.
Je ne parle pas de la connaissance intellectuelle.
Vous pouvez faire de l’introspection, de l’analyse, vous pouvez interpréter ce que vous vivez.
Mais ça ce n’est pas vraiment la connaissance.
La connaissance de soi, c’est passer du temps avec soi.
Et en fait, cette conscience on va la tourner vers l’intérieur de soi-même et on va apprendre à se regarder et c’est fondamental, parce que je parlais de l’attention qui est une forme de bienveillance à l’égard de soi-même.
C’est -à-dire que cette conscience qui était plutôt vers l’extérieur, là nous la tournons vers nous-même.
D’abord on va utiliser comme support le corps, là je parle du niveau de base qui est peut-être des plus importants.
Là on va vraiment être attentif à soi, attentif au corps.
On va découvrir toute sorte de sensations, toutes sortes de manifestations.
On sait très peu choses de nous finalement et c’est extraordinaire de voir les personnes quand elles commencent à pratiquer « mais en fait je découvre plein de sensations, que j’ignorais complètement je ne savais même pas ».
Et il y a toute sorte de manifestations.
Je vais même vous raconter une histoire vraie : une personne était tellement coupée à elle-même, que lorsqu’elle a commencé à pratiquer, elle a commencé à avoir des maux d’estomac.
Et elle me dit « ça vient de la pratique »
Je lui réponds : « non ça ne vient pas de la pratique, ce n’est pas possible, c’est parce que vous commencez à vous prêter de l’attention. »
En fait, cette personne était tellement coupé d’elle-même qu’elle ne savait pas qu’elle avait un ulcère.
Et au bout de la pratique je lui dit « écoutez ce qui serait bien, c’est que vous alliez consulter un médecin» et effectivement le diagnostique est tombé, elle avait un ulcère.
Votre corps vous donne des informations
Donc vous voyez, on est tellement coupé de soi-même, que parfois on laisse la maladie s’installer sans même nous en rendre compte alors que le corps n’arrête pas de nous donner des informations.
Et regardez cette culture dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui, vous avez un mal de tête, qu’est-ce que vous faites ? Hé bien vous allez prendre un antalgique pour gommer le mal de tête. Mais le mal de tête est en train de vous donner une information. Il est peut-être en train de vous dire que vous avez trop travaillé sur l’ordinateur, qu’il serait peut-être temps d’arrêter, que vous prenez de mauvaises postures physiques, que vous avez peut-être trop mangé ou mal mangé, ou manger des choses qui ont chargé votre foie.
Vous savez, per exemple, qu’en médecine chinoise, on considère qu’il y a 18 causes à la migraine ou mal de tête.
Donc votre corps ne cesse de vous donner des informations.
Et souvent quand la fatigue comment à s’installer, que faites-vous ? Vous allez prendre des stimulants pour essayer de masquer la fatigue.
Au lieu de vous respecter et de vous dire « je suis fatigué, je vais me détendre et me reposer »
(Mais cela, la plupart des personnes ne savent même plus faire cela) , elles boivent de la caféine, de la théine ou des boissons stimulantes pour être toujours en forme.
Sauf que le problème, quand vous prenez des stimulants, vous videz vos batteries, vous épuisez vos batteries et c’est pour cela qu’il y a autant de burn-out.
Parce que les gens essayent de tenir le coup. Alors ils se font violence et un jour tout s’effondre parce qu’il n’y a plus rien dans les batteries.
Vous voyez sur internet, on propose des boosters, des adaptogènes, je trouve cela formidable sauf que (j’ai une formation en médecine chinoise, donc je connais un peu le sujet)
si vous prenez ce genre de compléments alimentaires, ça marche bien pendant un moment, mais si vous les prenez tout le temps, vous puisez sur vos réserves. Et à un moment donné, vous vous effondrez aussi.
Apprendre à s’aimer soi-même pour mieux se connaitre
Donc c’est là où il faut être très attentif.
La méthode va vous aider à vous connaitre, à faire connaissance avec vous-même.
Faire connaissance avec vos sensations, faire connaissance avec votre corps, faire connaissance aussi avec votre esprit.
Vous allez commencer à voir vos pensées.
Là aussi, j’ai régulièrement des réactions de personnes qui semblaient froides et détachées et qui quand elles commencent à pratiquer (rires), se retrouvent face à leurs émotions.
Et ils disaient alors « je n’étais pas comme ça avant, avant la pratique »
Je leur répondais que « oui vous refouliez vos émotions, le problème maintenant c’est que vous prenez conscience que vous avez des émotions, bref que vous êtes vivants »
Une émotion (la racine du terme émotion veut dire « mettre en mouvement »
Donc vous verrez que vous ne bloquez plus vos émotions. Tout se remet à circuler en vous.
Mais quand les gens ne sont pas familiarisés avec leurs émotions, au début elles peuvent avoir l’impression d’avoir un tsunami émotionnel car il y a plein de choses qui s’élèvent à la conscience, elles ont l’impression d’être submergée.
Parce que jusque-là, elles les contrôlaient au lieu de les accepter.
En fait c’est un peu comme un surfeur. Le surfeur ne va pas se battre contre la vague, il va utiliser l’océan pour avancer.
Nous, nous essayons tant bien que mal de refouler nos émotions en pensant « c’est pas bien, je ne dois pas ressentir cela, je ne dois pas éprouver ceci.
C’est à cause de cette façon de penser que nous sommes de parfaits étrangers pour nous-même.
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Une méthode efficace pour vous aider
Donc, on est dépassé par nos émotions, on est dépassé par nos pensées négatives, nous trouvons que cela n’est pas normal d’avoir des pensées négatives surtout à l’égard de nos enfants « je devrais les aimer »…
C’est clair, mais si vous êtes stressé, vous êtes tendu, vous avez forcément des pensées négatives.. et ces pensées négatives sont des informations. Peut-être que vous manquez de sommeil, vous êtes sous pression et vous avez des pensées sombres.
Peut-être est-il temps de vous détendre et de vous reposer.
Dans cette méthode, on va voir que cette pratique/exercice de l’attention est vraiment précieuse parce que encore une fois, là aussi, nous nous prenons en considération.
On s’occupe de soi.
Non pas se préoccuper de soi, ça c’est très différent.
La personne qui se préoccupe d’elle, elle est toujours en train de se demander ce qu’on pense d’elle, quelle image rend-elle à l’autre, est-ce que je ne vais pas être critiquée etc …
La personne qui prend soin d’elle, prend soin de son corps et en étant plus à l’écoute d’elle-même, elle prêter attention à ce qu’elle mange, à la façon de se nourrir, de ne pas avaler de produits toxiques, je pense à la cigarette, à l’alcool…
Pourquoi prend-on de l’alcool ? Très souvent pour masquer ses émotions, ce qu’on ressent, parce qu’on ne veut pas pas ressentir.
Pourquoi in rend des tranquillisants ? Pour masquer ce que l’on ressent.
Alors que si au contraire on apprenait à être plus à l’aise avec ce qu’on ressent, hé bien ça ne nous effrayerait plus et on n’éprouverait plus le besoin de gommer tout ça.
Les bénéfices de l’attention dans le 1er niveau des cours
Donc voyez vraiment l’intérêt de la pratique de l’attention pour s’aimer soi-même
Le niveau 1 présente 7 semaines de cours où vous apprenez à développer cette attention nécessaire.
De plus, cela va avoir un autre effet qui est très important.
Non seulement ça va vous aider à vous prendre un peu plus en considération mais ça va vous aider à acquérir beaucoup de stabilité et de stabilité émotionnelle.
Les gens parlent souvent d’ancrage, mais l’ancrage n’est rien d’autre qu’être là où on en est.
Le corps est un merveilleux support, le mental lui-même est un merveilleux support, la respiration est un merveilleux support.
Vous verrez que dans ce niveau 1, étape par étape, c’est très précis, ce qu’il y a d’intéressant, c’est que chaque exercice s’emboîtent les unes avec les autres.
Le premier exercice prépare au second, le second complète le premier et le troisième exercice et ainsi de suite.
Vous allez acquérir des bases très solides,
c’est progressif et chaque étape est importante.
Vous consolidez au fur et à mesure que vous avancez, et c’est cela qui vous permet d’acquérir cette stabilité.
Ce premier niveau de cours se termine sur un exercice d’expansion du champ de conscience.
C’est un exercice extraordinaire parce qu’il vous permet de prendre énormément de hauteur par rapport à votre vie.
Parce que vous allez découvrir que votre conscience a la capacité de s’élargir à la fois dans le temps et dans l’espace. Vous avez ainsi un recul énorme par rapport à vous-même, par rapport à ce que vous vivez et ressentez. Ce recul est fondamental car il évite de faire des erreurs d’appréciation.
Je le répète encore une fois : si vous voulez que les autres vous respectent, il faut commencer par vous respecter vous-même. Autrement dit s’aimer soi-même
Et comment fait-on pour se respecter soi-même ?
Hé bien, encore fois on prend soin de soi. Et c’est de cette manière que vous allez découvrir vos réels besoins.
Je ne parle pas de désirs, je parle de réels besoins, besoin d’affection, de tendresse, physiques et physiologiques qui sont rarement respectés.
Les antidotes et postures mentales du niveau 2
Maintenant, je vais vous parler du niveau 2 qui va tout à fait dans ce sens du respect de soi, de l’amour de soi, d’apprendre à vraiment s’aimer soi-même.
Nous allons parler d’antidotes mais aussi de postures mentales.
Le niveau 1 des cours donne la capacité à être capable de ressentir et d’accepter ses émotions sans vous laisser entrainer dedans ou de les refouler.
Mais il existe une posture mentale que l’on trouve dans le deuxième niveau et qu’on appelle le sourire intérieur, qui va vous aider à prendre de la hauteur par rapport à vos émotions et les regarder avec un peu plus de bienveillance, plutôt que de se juger d’avoir eu cette réaction.
Au contraire, on va faire preuve d’indulgence, de respect envers soi-même, de regarder cela avec un peu plus de détachement.
Il y a un autre exercice, c’est le deuxième exercice du niveau 2, on aborde la notion de la culpabilité. La culpabilité est le poison ultime contre l’amour et le respect de soi.
Parce que on est dans le jugement, l’auto-jugement, ça crée beaucoup de manque d’estime de soi, manque de respect de soi-même. Ces manques créent de l’anxiété, de l’angoisse car on voit souvent qu’à l’origine de l’angoisse c’est la culpabilité.
Ce niveau 2 représentent un programme de 12 semaines.
Vous avez un exercice qui vous montrent comment apprendre à s’accepter tel que l’on est.
Il y a un autre exercice qui vous montre comment réaliser vos objectifs, vos aspirations.
C’est important de savoir se faire des cadeaux dans la vie, de se faire le cadeau d’une relation heureuse, de se faire le cadeau d’une activité professionnelle épanouissante etc…
Ensuite, on voit les incontournables techniques de visualisation, d’imagerie mentale, de suggestion.
Il y a un exercice consacré à la confiance en soi,
Cette confiance en soi est la base de la réussite d’une vie.
Si vous manquez de confiance en vous, vous allez douter de vous et de votre capacité à créer du bonheur avec vous, avec l’autre etc ..
La confiance en soi est le pilier de la réussite d’une vie, chose qu’on ne devrait pas négliger.
Ensuite on termine sur des pratiques comme l’équanimité des sentiments, je ne vais pas détailler car vous avez le détail sur le site Ressources et Actualisation.
Et une initiation à la véritable nature de l’esprit qui introduit le 3ème niveau.
Voyez, toutes ces pratiques, cela fait 35 ans que je les enseigne, on a des scientifiques qui suivent nos cours, on a des psychologues, des coachs et un très large public qui suivent cette démarche qui est maintenant reconnue et qui a vraiment des effets tangibles … mais à condition de la mettre en application.
Effort contrainte ou effort joyeux ?
Là, je vais faire une pause avant de présenter le niveau 3 pour vous parler d’une notion fondamentale et qui effraie parfois les personnes intéressées et qui se disent : « oui mais il faut pratiquer ». Mettre en application, c’est pratiquer. (Rires)
Dans notre culture, nous associons malheureusement l’effort à la contrainte.
Si vous voyez l’effort comme une contrainte, cela ne donne pas envie de s’y mettre.
Avec mes amis bouddhistes, j’ai découvert quelque chose d’extraordinaire : ils parlent de l’effort joyeux.
Regardez par exemple un enfant qui joue, hé bien il fait un effort, mais il joue, il s’amuse.
C’est dommage, pour nous adultes, d’avoir oublié ça.
Le plaisir et surtout le plaisir d’apprendre.
En prenant l’exemple de la méthode Arthur de Jaona Ramiandrisoa.
Son fils était admiré et qualifié de génie (il a eu son baccalauréat à 14 ans).
Il a répondu que son enfant n’est pas un génie, l’enfant est par nature curieux, il a envie de savoir et si on nourrit sa curiosité naturellement, il va avoir encore plus envie d’apprendre.
Mais nous, regardez comment nous éduquons ou instruisons nos enfants : l’obligation des devoirs, la peur des mauvaises notes, la pression des leçons à apprendre etc …
Aujourd’hui avec tout ce qu’on impose aux enfants, comment avez-vous envie qu’ils aient envie d’apprendre ?
La notion d’effort est déjà dans la contrainte.
Donc ce qui va se passer , c’est qu’on va sortir de l’école, on va besogner, on va « gagner sa vie », mais on n’a pas à gagner sa vie puisque nous l’avons déjà !
Et c’est ici que se pose le paradoxe : nous aspirons tous au bonheur et nous faisons exactement l’inverse de ce qu’il faudrait pour être heureux.
Et nous allons pouvoir voir à quel point, une personne qui se respecte ne va pas s’imposer quelque chose de contraignant.
Donc, avec la méthode, c’est une invitation à faire découvrir aux gens le plaisir de se faire plaisir tous les jours, ne serait-ce que pendant un quart d’heure ou vingt minutes si on a plus de temps.
Une invitation à pratiquer un effort joyeux.
Créer un cercle vertueux
Tout cela va entrainer un cercle vertueux parce que si vous vous faites plaisir en pratiquant , vous aurez encore plus envie de pratiquer. Plus vous allez pratiquer, plus vous allez avoir de résultats et plus vous allez avoir de résultats plus vous aurez envie de pratiquer.
La formation présente 3 niveaux, le premier de sept semaines, le deuxième et troisième de douze semaines. Cela semble long mais sachez que personnes refont plusieurs fois les 3 niveaux tellement c’est plaisant d’apprendre, de s’enrichir …
Parfois, des personnes me disent : « oui mais moi j’ai peur de ne pas arriver à m’y mettre »
Je leur répond : « vous avez du mal à vous y mettre parce que vous voyez cela comme une contrainte. Alors que si vous pratiquez avec plaisir, il faut prendre cela comme un rendez-vous avec vous-même. « Aujourd’hui c’est mon rendez-vous à moi, un moment où je prends soin de moi. »
Voilà qui est une bonne façon de s’aimer soi-même
Qui sommes-nous vraiment ? Les trésors du troisième niveau
On aborde dans le troisième niveau la véritable connaissance de la nature de l’esprit, qui sommes-nous vraiment ? Au-delà des apparences, au-delà des pensées.
Regardez, vous prenez une pensée, vous observer la pensée, et ensuite la pensée disparait et ensuite un autre pensée apparait.
Dans cette observation, vous n’avez pas le sentiment qu’il y a une partie de vous qui a disparu avec la première pensée ?
Donc, nous ne pouvons pas dire que nous sommes nos pensées ?
Il y a cette question fondamentale et qui va en même temps résoudre un grand nombre de difficultés dans votre quotidien, dans votre vie parce que cela nous aide à ne plus être dupe des apparences.
Le niveau 3 est un programme de 12 semaines dans lequel vous allez découvrir des notions d’impermanence, d’interdépendance, de vacuité, d’amour, de compassion …
(Vous pouvez trouver le détail sur le site Ressources&Actualisation.)
Cette démarche est d’une richesse extraordinaire.
Et ce qui est intéressant, pour parler de cette démarche, c’est qu’elle qui vous servira toute votre vie.
C’est quelque chose que vous allez acquérir en profondeur en vous-même.
Et qui va devenir un réflexe, une saine habitude, une saine attitude.
Je dirais même qu’elle va vous aider à aborder les choses sous un tout autre angle.
Parce que une fois que c’est ancré, c’est définitivement ancré et vous pouvez avoir le temps de tout approfondir.
Comme cette personne dont je parle plus haut qui n’arrêtais pas de me dire « à chaque fois je découvre des clés, je trouve une autre façon d’être, une autre façon de me positionner et je réapprends tout le temps.»
Et chaque événement où j’ai vécu du stress ou un moment difficile où je me suis laissée aller à mes émotions, je me replonge dans la démarche je retrouve des clés et ça me permet chaque fois d’approfondir. »
Vous avez donc là une formation qui va vous accompagner toute votre vie. Elle vous apprend avant tout l’essentiel : s’aimer soi-même, pour vivre en harmonie avec soi et les autres.
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Bruno Lallement est auteur, conférencier.
Il a écrit plusieurs ouvrages aux éditions Le Courrier du livre, spécialisé dans les pratiques de méditation et de la réalisation personnelle.
Il est le fondateur de la nouvelle formation : la science de l’éveil et du bonheur
Psst … Ne partez pas sans l’avoir récupéré !
c’est offert